l’intention de », « considère », « peut » et
« continue » ainsi que des expressions
similaires. Ces déclarations prospectives sont
fondées sur les plans, estimations et
convictions actuels du management. Toutes
les déclarations, hormis celles qui ont trait à
des faits historiques, peuvent être considérées
comme des déclarations prospectives,
notamment les estimations du chiffre
d’affaires, des marges d’exploitation, des
dépenses en immobilisations, des liquidités,
d’autres données financières, des résultats ou
des pratiques juridiques, politiques,
réglementaires ou cliniques attendus et
d’autres estimations et résultats. De par leur
nature, ces déclarations prospectives ne
constituent pas une garantie de performances
futures ; elles sont soumises à des risques
(connus ou inconnus), incertitudes et
hypothèses pouvant donner lieu à un écart
important entre les résultats, performances ou
réalisations réels d’UCB ou du secteur et ceux
contenus de façon explicite ou implicite dans
les déclarations prospectives figurant dans le
présent Rapport Annuel Intégré.
Figurent parmi les facteurs importants
susceptibles d’entraîner de telles différences
:
la propagation et l’impact globaux de la
COVID-19, l’évolution du contexte
économique général, du domaine d’activité et
de la concurrence, l’impossibilité d’obtenir les
homologations réglementaires nécessaires ou
de les obtenir selon des conditions
acceptables ou dans les délais impartis, les
coûts associés à la recherche et au
développement, l’évolution des perspectives
pour les produits du pipeline ou les produits en
phase de développement par UCB, les effets
de décisions judiciaires ou d’enquêtes
publiques futures, les problèmes de sécurité,
de qualité, d’intégrité des données ou de
fabrication ; les violations (potentielles ou
réelles) de la sécurité et de la confidentialité
des données, ou les perturbations de nos
systèmes informatiques, les réclamations pour
responsabilité du fait de produits, les obstacles
à la protection des produits ou produits
candidats par brevets, la concurrence d’autres
produits, y compris les biosimilaires, l’évolution
de la législation ou de la réglementation, les
fluctuations des taux de change, l’évolution ou
les incertitudes de la législation fiscale ou de
l’administration de cette législation, et le
recrutement et la rétention des collaborateurs.
Rien ne permet de garantir que de nouveaux
produits candidats seront découverts ou
identifiés dans le pipeline et feront l’objet d’une
autorisation de mise sur le marché ou que de
nouvelles indications seront développées et
homologuées pour les produits existants. La
transition du concept au produit commercial
est incertaine ; les résultats précliniques ne
garantissent pas la sécurité et l’efficacité des
produits candidats chez l’homme. Jusqu’à
présent, la complexité du corps humain est
impossible à reproduire dans des modèles
informatiques, des systèmes de culture
cellulaire ou des modèles expérimentaux
animaliers. Les délais d’achèvement des
essais cliniques et d’obtention de l’autorisation
de mise sur le marché des produits ont connu
des évolutions dans le passé et UCB anticipe
une imprévisibilité similaire pour l’avenir.
Les
produits (ou produits potentiels) qui font l’objet
de partenariats, de joint-ventures ou de
collaborations en matière de licences peuvent
donner lieu à des différends et des litiges entre
les partenaires ou peuvent se révéler moins
sûrs, moins efficaces ou moins fructueux sur
le plan commercial que ce qu’UCB aurait pu
croire au début du partenariat. Les efforts
d’UCB visant à acquérir d’autres produits ou
sociétés et à intégrer les opérations des
sociétés rachetées peuvent ne pas être aussi
fructueux que ce qu’UCB aurait pu croire au
moment de l’acquisition. Par ailleurs, UCB ou
d’autres sociétés pourraient identifier des
problèmes de sécurité, des effets indésirables
ou des problèmes de fabrication après la mise
sur le marché de ses produits et/ou appareils.
La découverte de problèmes importants avec
un produit similaire à l’un de ceux d’UCB
touchant une catégorie entière de produits
risquerait d’avoir un effet négatif important sur
les ventes de toute la catégorie de produits
concernée. Enfin, le chiffre d’affaires
peut être
influencé par les tendances internationales et
nationales en matière de soins gérés et de
limitation des coûts liés à la santé (et
notamment la pression sur les prix, la
surveillance politique et publique, les
habitudes ou les pratiques des clients et des
prescripteurs), par les politiques de
remboursement imposées par les tiers
payeurs, ainsi que par la législation régissant
les activités et les résultats liés à la tarification
et au remboursement des produits
biopharmaceutiques. Il ne peut y avoir aucune
garantie quant au fait que les produits
expérimentaux ou approuvés décrits dans le
présent Rapport Annuel Intégré soient soumis